Humanes littérales (bis)

[Thierry Bouche <Thierry.Bouche AT ujf-grenoble.fr>]

En repensant à Poliphilus (je sais, c'est une monomanie, et ça n'est
pas la seule !) je me disais que l'idéal pour produire une compo
ancienne qui ne soit ni absurdement perturbée de façon aléatoire (beowulf), ni
absurdement la reproduction da capo d'une occurence d'un caractère sur
une page (poliphilus) ; que l'idéal serait de disposer d'une mécanique
aléatoire qui modifierait _certaines_ parties des lettres imprimées de
_certaines_ façons dont on serait assuré qu'elles correspondent bien
_toujours_ à des aberrations possibles ou avérées sur le
papier. Quelqu'un s'est-il penché là-dessus ? Y a-t-il des
technologies y adaptées ?
Th. B.
« et, quoique l'on pourrait mettre un point d'exclamation à la fin de
chaque phrase, ce n'est peut-être pas une raison pour s'en dispenser ! »
                                     Comte de Lautréamont, 1869.