Code typo simplifie

[Jean-Claude Siegrist <arci AT worldcom.ch>]

Qu'il soit bigleux ou pas, F. Richaudeau pose la question de la
lisibilité et propose des solutions fonctionnelles. Chaque typo doit
bien évidemment considérer, en balance, le côté esthétique ou formel.
Certaines de ses solutions peuvent convenir à des travaux bien définis:
manuels d'études, ouvrages techniques... Pour d'autres, le côté
esthétique (et une certaine forme de tradition) prennent le dessus:
l'idée de surface grise non rompue ou l'idée de la ligne grise, que nous
autres Helvètes (=Suisses) prenons comme principe sacré, domine et
conditionne les choix microtypographiques (police, corps,
justification=largeur du texte, interlignage et valeur du blanc visuel
optique allant de la base d'une ligne sur la hauteur des lettres courtes
de la ligne suivante, réglage de la valeur des approches=blanc entre les
lettres, espacement des mots, respect des fines...).
Gardons également à l'esprit que, lors du processus de lecture, tout ce
qui est inhabituel (formes des lettres et doubles espaces, dans le cas
particulier) ralentit la lecture.