Re: nombre div

[Gilles Perez-Lambert <Gilles.Perez AT univ-montp3.fr>]

>> Mais si je
>> ne peux pas, j'avoue avoir coupé « enseignants-cher-{nvelle ligne}cheurs ».
>
>----
>Soyez maudit ! Sauf si l'alinéa est très, très court...
>-----------------------------------------

Voilà la situation. C'est une phrase en début de paragraphe. Si je coupe au
trait d'union, la première ligne du paragraphe est laide. Je n'ai pas vu
d'autre solution. J'ai pensé à modifier la valeur de l'alinéa mais d'autres
paragraphes étaient présents sur la page, ça se serait vu (j'ai quand même
essayé : il aurait fallu vraiment soit réduire au minimum l'alinéa soit
l'agrandir démesurément).

>Que faire d'autre ? Ne pas considérer la seule ligne foireuse, ne pas
>hésiter à

Croyez-moi, je ne fais pas que ça.

>jouant probablement sur plusieurs lignes (mais pour ça... il ne faut pas 
>avoir
>composé trop serré, comme c'est la mode ces jours-ci...). Si on « peut » le

Trop serré, c'est quoi et combien ?

>faire ici, pourquoi ne pas le faire là ? Par manque de temps ? Alors,

Mais j'ai eu le même problème en bas de page plusieurs fois avec d'autres
mots et j'ai pu souvent (mais pas toujours) y remédier en coupant un mot
plus haut, etc. Mais ce n'est pas *toujours* possible !

>tous ces
>« problèmes de mauvaises coupes » ne sont pas attribuables aux règles de
>composition ou aux logiciels... mais aux conditions de travail... Pour être

Expliquez-moi comment vous faites quand une situation vraiment impossible
se présente.

>précis : à leur incompatibilité d'humeur (qui ne date pas d'aujourd'hui mais
>qui prend un visage nouveau et sans doute s'aggrave). Le vrai « que
>faire ? »
>est donc : faut-il adapter les règles aux conditions de travail ? Camarades,
>comme vous le savez, je réponds : niet ! (Mais c'est un niet désespéré...)

Mais il ne s'agit pas de conditions de travail dans mon cas ! J'ai passé
une demi-heure sur ce problème (« enseignants-chercheurs »).  Et je n'ai
pas trouvé : peut-être un manque d'expérience, peut-être une impossibilité
à voir ce que je pouvais faire, peut-être un manque de recul... ?

Gilles.