Re: De la "non finitude" de certains documents...

[Jacques Andre <Jacques.Andre AT irisa.fr>]

Véronique Heinrich wrote:
> 
>
> De façon (très) empirique, je fais la différence entre un document "fini"
> (exemple : un dépliant d'informations, une affiche), et un document "non
> fini" sur lequel on écrit (exemple : un formulaire à remplir), qui est donc
> conçu pour servir ensuite de support à une nouvelle information.
> 
> Cela recoupe-t-il de près ou de loin une classification existant dans vos
> métiers ?


Je en sais pas s'il y a un nom générique, mais tous ces formulaires, formes 
pré-imprimées, documents administratifs,
etc. relevaient en tout cas d'un certains avoir faire de par la complexité de 
mise en page (notamment des tableaux,
etc.) et seules quelques grandes imprimeries savaient faire ça (IN, Oberthur, 
Berger-Levrault, Jouve, etc.) et en
détenaient d'ailleurs la grosse majorité du marché.

Aujourd'hui, dans le monde des « documents numériques », on commence à 
s'intéresser au concept de « dossier »
(typiquement un document qui évolue dans le temps et qui "fini" devient une 
archive)et notamment à l'analyse (OCR) de
ces papiers remplis à la main, notamment les formulaires, mais aussi les 
chèques, les factures (où on peut se "caler"
sur les logos ou fond pré-immprimé pour savoir où chercher l'info, etc.), les 
carnets de laboratoires ou les registres
d'entrée des bâteaux dans les ports. Vaste champ...


-- 
Jacques André, Irisa/Inria-Rennes
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