Chatelain, femmes, &c.

["Jef Tombeur" <jtombeur AT noos.fr>]

Je sais, c'est très impoli d'insister à ce point.
Mais là, après une nuit blanche, deux heures de sommeil, prêt à
repartir pour d'autres nuits blanches, mais plus beaucoup.
Il faut vraiment que je finisse d'urgence mon truc sur les femmes et
l'imprimerie.

Or donc, déjà, je vois que personne n'a songé à Freda Sack.
Quand même une créatrice britannique notoire.

J'aimerai vraiment, vraiment, avoir un petit bout d'aperçu du chap.
10 du Chatelain.
Juste les noms de femmes mentionnés, une ou deux phrases
significatives.
Est-ce trop demander ?

Pour ceux qui se souviennent des débats sur les car. non accentués
dans les polices d'origine étatsuniennes, je reçois à l'instant de
Phil Martin (l'homme aux 400 polices), le message suivant :

In my early days as Martin Studios, a woman artist worked for me
named Jean Lavasque.
Unaware that I was designing the finest design that I was ever to
design, Jolly Roger, I gave her crisp pencil letters which she
transferred to finished form in ink. She did not like my exclamation
point, so she designed an alternate one. Hers turned out to be the
one all preferred to use.
Clearly she visualized what was ahead, although I did not. She said,
you will have to come back and add all the European characters to
your typefaces.
I could not imagine that happening, therefore I paid no attention to
what she had said.

Phil ne déteste pas trop qu'on parle de lui, donc, je reproduis sans
demander sa permission.
Cela vous donne un aperçu de ce qui se passait dans les petits (ou
les grands, d'ailleurs) studios.
Le maître crée, les exés affinent. Boton est passé par là.
Et très peu deviendront maîtres (et c'est d'ailleurs parfois le
propriétaire de la fonderie qui signe la police).