La mariee etait en noir (et elle etait enceinte)

[Alain Hurtig <alain.hurtig AT hol.fr>]

At 15:41 +0200 12/05/97, Thierry Bouche wrote:
>L'inconvénient est qu'il devient alors très
>difficile d'éviter les veuves...
>
En typographie, il n'existe hélas ! pas de jolies veuves...

Le pire, c'est évidemment dans les romans, avec les dialogues sont
forcément vifs et nerveux, et donnent des paragraphes de deux lignes

Il arrive alors que, drame des familles, la veuve accouche d'un petit
orphelin (quand une ligne se trouve en bas d'une page et la ligne suivante
en haut de la page d'après).

On a beau « batailler » au maximum, ce n'est pas toujours évitable. Je
préfère, à tout prendre, laisser une ligne isolée en bas de page plutôt
qu'une ligne seule en haut de page.

(Laquelle est la veuve, laquelle est l'orphelin ? je confonds toujours les
deux... ! je me sens un peu bête de poser la question, mais vous ne le
répèterez pas, je le sais ;-))

Alain Hurtig         
alain.hurtig AT hol.fr
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« Quand on n'a plus rien à désirer, tout est à craindre ; c'est une
félicité malheureuse. La crainte commence où finit le désir. »
   Baltasar Gracian, L'homme de cour.