Re: Espaces non-justifiantes et methode de justification

[Thierry Bouche <Thierry.Bouche AT ujf-grenoble.fr>]

Concernant « Re: Espaces non-justifiantes et methode de justification », 
Jacques Andre écrit :
« >les lignes suivantes en bas de casse,
« Veux-tru bien  dire que tu refuses les capitales ?

non pas du tout (seulement la flemme de taper c&pc, h&bdc...). La
question n'est pas précisément de savoir faire ou pas, mais si ça
plaît ou pas...

Un tel pavé est _dissymétrique_ (Lettrine/point) mais fait bloc, donc
très statique ; à la limite, la lecture peut être rendue pénible par la
difficulté à « rentrer dedans ». C'est dans ce genre de situation que
la nature du gris devient cruciale : le gris austère et le rythme
impitoyable du didot vous laissent dehors, tandis qu'un caractère
contrasté, aéré, comme disons Baskerville, est parfois capable de le
munir d'une « vie intérieure ».

Probablement lié à cette (trop) subtile distinction lisible/visible
(ou legible/readable?) à laquelle je n'ai toujours pas compris grand
chose. 

Th. B.
« et, quoique l'on pourrait mettre un point d'exclamation à la fin de
chaque phrase, ce n'est peut-être pas une raison pour s'en dispenser ! »
                                     Comte de Lautréamont, 1869.