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typographie - Re: [typo] Re: Re: INHA lettrines [était: Espace et point d'interrogation]

Objet : Liste consacrée aux discussions à propos de la composition et de la typographie

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Re: [typo] Re: Re: INHA lettrines [était: Espace et point d'interrogation]


Chronologique Discussions 
  • From: Jean-François Roberts <jean-francois.roberts AT wanadoo.fr>
  • To: <typographie AT irisa.fr>
  • Subject: Re: [typo] Re: Re: INHA lettrines [était: Espace et point d'interrogation]
  • Date: Fri, 30 Jan 2004 15:01:03 +0100

Title: Re: [typo] Re: Re:  INHA lettrines [était: Espace et point d'interrogation]


De : "Christian Laucou-Soulignac" <fornax AT freesurf.fr>
Répondre à : typographie AT irisa.fr
Date : Fri, 30 Jan 2004 14:12:32 +0100
À : <typographie AT irisa.fr>
Objet : Re: [typo] Re: Re:  INHA lettrines [était: Espace et point d'interrogation]


De : sabine <mailto:sabine.pl AT wanadoo.fr>  
To: typographie AT irisa.fr
Sent: Friday, January 30, 2004 11:43 AM
Subject: Re: [typo] Re: Re: INHA lettrines [était: Espace et point d'interrogation]
(...)

>> Ce que je sais, c'est que les livres n'étaient pas forcément vendus reliés et ce jusqu'au début du 19e siècle où cette pratique s'est généralisée avec <l'apparition de la couverture imprimée et du livre broché.

> Certains éditeurs ont continué cette pratique jusqu'à la deuxième guerre, Léon Pichon, Daragnés, Gonin et bien d'autres, mais il s'agissait alors d'ouvrages de bibliophilie dont les tirages se > situaient entre 500 et 1500 ex., le plus souvent en raison des techniques d'impression des illustrations.
Bien sûr, et je fais parte du lot des contemporains qui continuent cette pratique. Cela ne se fait plus que pour les ouvrages bibliophiliques, pour que le lecteur ait la possibilité de se précipiter chez son relieur préféré pour lui faire tailler un vêtement haute couture.

(...)

En fait (si on veut bien regarder ce qui se passe aujourd'hui même), la pratique n'a... jamais cessé : c'est très exactement le principe des encyclopédies, atlas, etc. vendus en fascicules hebdomadaires chez tous les marchands de journaux. Vous pouvez acheter une reliure "mobile", ou (dans les meilleurs cas) confier vos fascicules à l'éditeur pour les faire relier sous reliure "fixe"... Dans les années 1950 et 1960, Larousse en faisait autant. Et ça n'était certes pas de la bibliophilie !




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