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typographie - Re: [typo] Bratislava (fut Erre z'aux Rh ums et était:Chinoiserie)

Objet : Liste consacrée aux discussions à propos de la composition et de la typographie

Archives de la liste

Re: [typo] Bratislava (fut Erre z'aux Rh ums et était:Chinoiserie)


Chronologique Discussions 
  • From: Patrick Andries <hapax AT iquebec.com>
  • To: typographie AT listes.irisa.fr
  • Subject: Re: [typo] Bratislava (fut Erre z'aux Rh ums et était:Chinoiserie)
  • Date: Mon, 19 Jul 2004 20:19:15 -0700

Jef Tombeur a écrit :

From: "Jean-François Roberts" 
<jean-francois.roberts AT wanadoo.fr>
To: 
<typographie AT listes.irisa.fr>
Subject: Re: [typo] Erre z'aux Rhums (était:Chinoiserie)

www.fact-index.com/b/br/bratislava.html




http://france.sk/ambassade_ancien/bratislava.html

http://slowakei-online.info/presporok.htm


"Les principaux noms portés par la ville furent les suivants :

ETC.

Évidemment, là, la mise entre parenthèses, ça le ferait pas. La note de
bas de page s'impose.
Cela évoque le blésement (zézaiement) de l'Infante d'Espagne.
Il suffit d'un conquérant enrhubé pour que Poson devienne Bosan ?

Ville frère des Slaves ? Ça fait (études de) genre...

Pour une ancienne capitale hongroise avec encore aujourd'hui une assez grande population hongroise, c'est une petite provocation...

Toujours est-il que la translit., ce n'est pas de la tarte.


Dans le cas de la paire Bratislava - Pres[s]bourg, il s'agit d'un changement de nom (en tout cas pour nous) et non d'un problème de translittération [lettre à lettre] mais d'un problème de transcription entre Preßburg et Pres[s]bourg [son à son].

Faut parfois allumer un cierge pour être bien inspiré.
Voir Bougie, Bejaïa, Vgayeth, etc., sur
http://www.algerie-dz.com/article577.html

Intéressant et en français pour une liste francophone, merci.

P. A.

---

« transcription, translittération
⇒ aa
Ces deux termes ne sont pas synonymes.
Selon les pinyinistes, deux arguments sont décisifs. Primo, ces formes ont été élaborées et leur
emploi est recommandé par les Chinois eux-mêmes ; secundo, l’ensemble des nations devant les
adopter, les différences parfois considérables entre les anciennes transcriptions cesseront enfin de
faire obstacle à la communication entre les peuples. Les Chinois peuvent écrire Molitg-les-Bains,
Graulhet ou Laguiolle comme ils l’entendent, aucun sinologue francophone et sain d’esprit n’ira
leur donner de conseils déplacés sur la question. Quant à l’unification des transcriptions, on est
saisi de stupeur à l’idée qu’elle est cautionnée par des universitaires et des lexicographes : le pinyin
est destiné à être lu par des francophones, des anglophones, des germanophones, des
hispanophones, etc. Eurêka, aujourd’hui Pékin se prononce Beijing dans toutes les langues. En
français : Bégin, d’où risque de confusion pour le premier pékin venu.

Citation : « Le mot capitaine, par exemple, écrit dans mon dictionnaire gabidaine sera dès lors
prononcé par le jeune Prussien aussi purement que par le même Batignollais. » (Alphonse Allais,
Ne nous frappons pas.)
»
J.-P. Lacroux, Opus.

http://www.cetteadressecomportecinquantesignes.com/OpusLacroux.pdf




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