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typographie - Re: Re: [typo] Supérieures et HTML, suite

Objet : Liste consacrée aux discussions à propos de la composition et de la typographie

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Re: Re: [typo] Supérieures et HTML, suite


Chronologique Discussions 
  • From: Jean-Marie Schwartz<fidelite AT fundp.ac.be>
  • To: typographie AT listes.irisa.fr
  • Subject: Re: Re: [typo] Supérieures et HTML, suite
  • Date: Tue, 10 Jan 2006 09:27:00 +0100 (CET)

> L'apostrophe et les guill. dactylographiques existent - comme leur nom
> l'indique - du fait historique que les machines à écrire "à vapeur" avaient
> un clavier nécessairement plus limité que 256 caractères. Et, en ASCII à 7
> bits, ça restait encore trop court - d'où l'adoption de ce glyphe. (Sur
> machine à écrire française, à l'époque, on n'avait pas non plus de guill.
> français : ÇA NE GENAIT PERSONNE A L'EPOQUE - faut quand même se remettre
> dans les circonstances d'il y a 30 ou 40 ans, avant de s'indigner. A
> l'époque, une secrétaire de direction ne risquait pas d'avoir accès à un
> clavier de Linotype ou de photocomposeuse !)

Là est bien le problème : de confondre dactylographie et composition (au plomb
ou en PAO maintenant).
Je ne parle pas ici des sites Web, mais des publications imprimées où l'on
rencontre des apostrophes droites, des guillemets étrangers (anglais ou
autres).

Si l'on ne s'indignait pas de ne pas "lire" de guillemets français sur les
textes issus des machines à écrire de l'époque, c'est qu'on savait bien que
c'était impossible d'en "faire", mais en même temps cela se limitait au 
domaine
du dactylographié. Les livres de l'époque utilisaient bien les chevrons, non ?

JMS



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