Re : [typo] Polichinelle ou ozalid ?

[tit <martine.savina AT alicemail.fr>]

Les films sont montés en imposition sur un rhodoïd (sens de lecture à
l'envers). Ils servent à insoler une plaque (sens de lecture à l'endroit)
La plaque une fois encrée, se transfère sur un blanchet [un espèce de
caoutchouc] (donc qui sera sens de lecture à l'envers) qui LUI sera en
contact direct avec le papier (donc impression sens de lecture à l'endroit).
C'est l'offset.
A la différence de la typo, où le plomb était monté à l'envers parce qu'il
était directement mis au contact du papier.

Euh, à cette heure là, je commence à fatiguer.
Je sais même pas si j'ai répondu à la question.

M
Passons...
Je vais dodo :-))



> De : Kristian Crick 
> <kristian.crick AT skynet.be>
> Répondre à : 
> <typographie AT listes.irisa.fr>
> Date : Tue, 9 May 2006 23:10:04 +0200
> À : 
> <typographie AT listes.irisa.fr>
> Objet : Re: [typo] Polichinelle ou ozalid ?
> 
> Oups! Vous avez entièrement raison! En voulant insister sur
> l'imposition, j'ai parlé de plaques alors qu'il fallait parler des
> films.
> Imprécision coupable heureusement corrigée.
> 
> 
>> J'ai du mal à comprendre le processus.
>> Reprenons. Le tirage de plans ‹ les bleus ‹  impliquait le passage
>> simultané (les deux supports étant en contact) dans une machine des
>> calques et du papier Ozalid photosensible.
>> L'ammoniac a un effet révélateur.
>> Pour les épreuves d'impression, ce sont les films montés (avec traces
>> de ruban adhésif, et de surépaisseurs) qui passaient dans la machine.
>> Donc PAS DE PLAQUES, mais des films (montage ou non).
>> Je n'ai pas de souvenir précis d'avoir assisté à la scène.
>> Quelqu'un aurait-t-il vu le procédé à partir de plaques ?
>> 
>> 
>