Re: [typo] Histoire imprimerie

[Jacques André <jacques.andre35 AT orange.fr>]

> Jean-Baptiste Levée a écrit :
> > Le 1 mars 07 à 15:25, Jacques André a écrit :
> > > http://editions.ens-lsh.fr/simclient/consultation/fiche/view.asp? 
> > > INSTANCE=ENSEDITIONS&EID=CATALOGUE_193&FORM=0
> >
> > Y'a pas comme une apostrophe bizarre sur la couverure? ;)

Le 4 mars 07, à 17:07, Jean-Luc BLARY a écrit :

> On voit beaucoup mieux ici :
> http://www.amazon.fr/Limprimerie-Histoire-techniques-Michael-Twyman/ 
> dp/2847881034
> (surtout qu'on peut agrandir l'image).
> De fait, c'est une apostrophe informatique...

En quoi cela gène-t-'il dans un titre de couverture (pardon de  
couverure) , qui n'est pas typographique mais graphique, d'avoir une  
apostrophe bien droite quand tout le reste est aussi très droit ?
Je ne suis par  ailleurs pas du tout d'accord avec votre expression «  
apostrophe informatique...» qui laisse croire que l'informatique n'est  
pas capable de manipuler de vraies apostrophes ! Je ne suis d'ailleurs  
pas non plus d'accord avec l'expression d'apostrophe  
« dactylographique » puisque nombre de machines à écrire avaient de  
bonnes apostrophes.

Mais rassurez-vous, le contenu typographique de ce livre est  
entièrement composé avec de bonnes apostrophes. Et les capitales sont  
bien accentuées, dès la couverture que vous critiquez. Rassurez-vous  
aussi, les petites capitales sont de vraies petites capitales, les  
supérieures de vraies supérieures, Et puisque la forme vous intéresse  
plus que le fond, je vous signale aussi que le bouquin est quasi-carré  
et que la maquette s'en sort fort bien, avec une seule colonne (en  
drapeau) et des notes dans les marges ainsi que les légendes des  
figures et même souvent ces dernières.

Quant au fond, je trouve que pour un  bouquin de 120 pages (et environ  
150 illustrations ce qui laisse finalement peu de place au texte),  on  
pouvait difficilement faire plus concis et plus précis et que donc on  
en a pour son argent !

Mais si vous voulez que moi aussi j'aille pinailler, laissez moi dire  
que je trouve dommage que l'auteur parle à la fin de son livre de la  
façon dont il a été fait avec des termes naïfs comme « des puces qui  
reçoivent des instructions en langage binaire ».




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Jacques ANDRÉ