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typographie - Re: [typo] ligne blanche

Objet : Liste consacrée aux discussions à propos de la composition et de la typographie

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Re: [typo] ligne blanche


Chronologique Discussions 
  • From: Pemerle <didpem AT free.fr>
  • To: typographie AT listes.irisa.fr
  • Subject: Re: [typo] ligne blanche
  • Date: Sun, 16 Nov 2008 23:07:06 +0100


Le 16 nov. 08 à 20:24, André Hetzel a écrit :

Le 16 nov. 08 à 16:37, Pemerle a écrit :

Le 16 nov. 08 à 09:54, Pemerle a écrit :

Le 16 nov. 08 à 09:45, Jean-Luc BLARY a écrit :

André Hetzel a écrit :
J'ai eu souvent ce problème (je m'exprime en tant qu'auteur potentiel et pas en tant que typographe). La solution >>>> consistant à abandonner la chasse aux veuves ou au orphelines me semble cohérente (et plutôt dans la lignée des >>>> sources de la typographie), mais je prétends pas qu'elle serait vraiment de mise aujourd'hui.
Certains éditeurs n'ont rien à cirer des veuves et des orphelines, notamment en poche, mais ce n'est pas une >>>> raison…

Personnellement j'ai fini par adopter une numérotation à plusieurs niveau des paragraphes mais je ne sais pas si >>>> c'est un choix qui serait du ressort d'un typographe (et je ne suis peut-être pas près d'être édité).
En littérature, il est rare qu'on numérote les paragraphes. Ça ne se fait même jamais (la Bible et le Coran sont >>>> des exceptions :-))

Ajoutez-y donc Jacques Roubaud, excellent auteur contemporain.
D.

Et Roberto Bolaño (sauf erreur, dans une nouvelle des _Putains meurtrières_, mais je n'en suis pas sûr du tout).

Je ne connais pas ces auteurs mais j'avais plutôt pensé à Spinoza, et je connais des auteurs qui n'utilisent pas ce procédé mais qui feraient mieux de l'utiliser à mon avis (j'ai plutôt du mal à lire Bertrand Méheust par exemple).

Si Blary parle de littérature, je pense que c'est à bon escient et, de fait, j'exclus, implicitement comme lui, l'abondante production philosophique (Wittgenstein en est un exemple) ou critique (Barthes, parfois), qui utilise beaucoup les numérotations de paragraphes. Concernant Roubaud, je n'ai rouvert que _la Boucle_, qui est la "Branche deux" de la suite narrative _le Grand Incendie de Londres_ (collection "Fiction et Cie", Le Seuil, 1993). Quand on y entre, on en sort difficilement et les numéros de paragraphe sont très utiles pour ne pas perdre le fil.
Didier Pemerle



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