Re: veuve-orphelin, re'sume' ?

[Jacques Melot <melot AT itn.is>]

 Le 25/03/99, à 9:10 -0000, nous recevions de Jacques Melot :

> Â Le 25/03/99, Ã  4:07 -0000, nous recevions de Olivier RANDIER :
>
> > >>> Si ces typos faisaient bien leur boulot, on
> [...]
> > en amont afin d'avoir une ligne moins creuse au-dessus. Si la ligne précédente est vraiment très creuse (faux blanc), on pourra généralement la gagner, et donc éviter la veuve.


Ce qui suit, n'a pas grand chose à voir avec ce qu'Olivier écrivait. C'est ma manie d'avoir tous les messages présents à l'esprit qui m'a trahi. Ces une réponse à Jean Denis Rondinet qui écrivait :

>> Si ces typos faisaient bien leur boulot, on
>> n'aurait même pas besoin d'en parler, de ces satanées veuves et
>> orphelines!  :-)

C'est parce que les typos font bien leur boulot qu'on dispute là -dessus,
car c'est un phénomène ***tellement rare*** qu'on hésite sur les
définitions ! ! !

:-) JiDé





> La question n'est pas là . On ne parle de « widow » et « orphan » que dans deux circonstances :
>
> 1. - Provisoirement, lorsque l'on a à parler d'un texte en cours de composition. Normalement, à terme, c'est le paradis : tous les maris sont ressuscités.
>
> 2. - Pour dénoncer un travail fini qui montre des défauts de composition.


Amicalement,

Jacques Melot, Reykjavík